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Part one,
Afin de pouvoir insérer un maximum de  20 images par page,  je suis contraint de "tronçonner" cette randonnée en plusieurs parties.
Part one: de l'Etoile à Vendôme
Part two: de Vendôme à l'Opéra
Part three: de l'Opéra aux grands Boulevards
Part four:
des grands Boulevards suite et fin...Place de la Bastille.

Ainsi au départ de la Bastille nous décidons de rejoindre en métro la place de l'Etoile dans le but de revenir en sens inverse à pied... En randonnant.
De l'Etoile nous descendons les Champs Elysées jusqu'à la Concorde.
De la Concorde nous longeons la rue de Rivoli sous les arcades.
En direction de la Colonne Vendôme, nous flanons rue de la Paix en direction de l'Opéra.
A la Bastille c'est le marché du jeudi matin: ambiance!!!
A l'Etoile c'est un peu désert...
Sur les Champs Elysées c'est encore désert... Pas un chat!!!
Il est vrai que bon nombre de parisiens sont en vacances.
En chemin de belles vitrines sur les Champs Elysées.
Rue de Rivoli:  Mosaiques  en pavement décoratif  (certaines abimées, d'autres restaurées)
En part two vous aurez un aperçu de celles du Palais Garnier (du sol aux plafonds)
ce n'est pas Ravenne, Venise  mais c'est quand même sublime!!!!
à bientôt
mélo







Le marché de la Bastille
























































métropolitain, quai de la Bastille... Direction la 1, La Défense





Dans la rame automatisée sans chauffeur...













vue d'une station ...














le Louvre...












Sortie de métro...

















L'arc de Triomphe












Les Champs Elysées














Vitrine d'un grand magasin des Champs (clin d'oeil à la Corée)






une autre vitrine, fashion...
















fashion automobile sans citer la marque...
















les années folles...









à proximité de la Concorde















Place de la Concorde













Rue de Rivoli: mosaïque en pavement
non restaurée...







Rue de Rivoli: mosaïque restaurée
















mosaïque restaurée rue de Rivoli, sous les arcades...






C'est l'une des place les plus belles de la capitale. La place Vendôme, bâtie autour de 1700, offre un remarquable exemple de l'architecture française du Grand Siècle. Conçue par Jules Hardouin-Mansart (l'architecte de Versailles), cette place majestueuse devait servir d'écrin à une statue équestre de Louis XIV, renversée et fondue à la Révolution. Au centre de la place, la colonne de 44m de haut installée en 1806 représente des scènes militaires. Elle fut fondue avec les 1250 canons pris à Austerlitz. A son sommet, se trouve une statue de l'empereur. Quelques numéros célèbres de la place Vendôme : C'est au N 11, qu'en 1792, Danton, alors ministre de la justice, s'installa à l'hôtel de la grande Chancellerie. Au n 12 mourut le compositeur Chopin à l'hôtel Boudart de Saint James

On peut apercevoir, sur la façade du numéro 13 (actuel ministère de la justice), un mètre en marbre apposé en 1795 afin de familiariser les Parisiens avec le nouveau système métrique, harmonisant tous les poids et mesures de la République. Au numéro 15, le célèbre palace du "Ritz". La place est mondialement connue pour les boutiques des plus grands joailliers.


Fait attesté dans un ouvrage sur l'histoire de la Commune de Paris par un témoin: la photographie, l'épisode le plus dramatique survient en 1871, lors de l'insurrection de la Commune de Paris. C'est le peintre Gustave Courbet qui le premier adresse une pétition au gouvernement de Défense nationale le 14 septembre 1870 demandant « à déboulonner la colonne, ou qu'il veuille bien lui-même en prendre l'initiative, en chargeant de ce soin l'administration du Musée d'artillerie, et en faisant transporter les matériaux à l'hôtel de la Monnaie ». Il n'a en fait que l'intention de la faire reconstruire aux Invalides. Mais l'insurrection de la Commune de Paris prend le pouvoir et cette fois les objectifs sont autres :
« La Commune de Paris, considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brute et de fausse gloire, une affirmation du militarisme, une négation du droit international, une insulte permanent des vainqueurs aux vaincus, un attentat perpétuel à l'un des trois grands principes de la République française, la fraternité, décrète : article unique - La colonne Vendôme sera démolie. ».

Courbet, entraîné dans la tourmente ne peut se déjuger et, un peu malgré lui, portera historiquement la responsabilité de la destruction de la colonne. Le 16 mai 1871, la colonne est abattue, non sans mal, devant une foule en liesse. Les plaques de bronze sont récupérées.

Après la chute de la Commune, le nouveau président de la République, le maréchal de Mac-Mahon, décide au mai 1873, de faire reconstruire la Colonne Vendôme aux frais de Courbet (soit plus de 323 000 francs selon le devis établi). Le peintre est acculé à la ruine, ses biens mis sous séquestre, ses toiles confisquées. Il s'exile en Suisse, à La Tour-de-Peilz, près de Vevey. Courbet obtient de payer près de 10 000 francs par an pendant 33 ans, mais meurt avant d'avoir payé la première traite.

(source wikipédia et ouvrage .........)


Les photographies des ruines de Paris en 1871 ou les faux-semblants de l'image résumé écrit par Éric Fournier

Je cite: "Ce dossier iconographique présente quelques images - essentiellement des photographies - des ruines de Paris après la « semaine sanglante » de 1871. Considérée comme un œil-témoin mécanique indépendant de la volonté du photographe, la photographie participe en fait à des pratiques et des stratégies photographiques précises, élaborées depuis le milieu du dix-neuvième siècle. Les photographes professionnels participent à l'élaboration d'un Paris en ruines tout en se définissant comme des auxiliaires de l'autorité témoignant des crimes communards. Mais, une fois décryptée, cette production photographique reste, faute de mieux, le meilleur moyen de restituer le paysage sensible qui s'est offert aux Parisiens amateurs de ruines"
source: Document 8 : Docks de la Villette, dans Paris sous la Commune, par un témoin fidèle la photographie, Paris, Éditions Charaire, 1872. ...
www.cairn.info/article


mon commentaire:
Perso, je pense que la photographie apporte un éclairage objectif en dehors de la subjectivité...Cependant la subjectivité des auteurs commentant cet événement nous ramène à la nécessité de l'émergence de points de vue qui peuvent s'opposer, se contredire, se débattre...

Sauf à commettre l'erreur d'un négationisme...

L'épisode sanglant de la Commune a bien existé...

Des centaines de milliers de "communeux " exécutés  bombardés ...
En tant que républicain je suis du côté des ces martyrs de la république ... "ces communards"...c'est sûr.


Preuve qu'on parle assez peu de la Commune de Paris sauf que les touristes, les parisisens ou nous- mêmes aimont piétiner le sol de Montmartre, un des lieux de l'insurrection des Communeux.

Hors de ce contexte il faut encore et toujours se méfier des images qu'on nous donne à voir par les médias interposés sauf à être visibles contradictoirement.
c'est toujours d'actualité aujourd'hui, quelque soit le régime d'ailleurs, quelque que soit le pays concerné...
(fermé la parenthèse de la Commune de Paris...)
...ça c'est aussi Paris...

à+
part two
mélo



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  • : ce blog a vocation de compléter par des articles et documents visuels mes pratiques artistiques (elles sont multiples)l
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