Randonnée pédestre en bord de Seine normande de Poses à l'estuaire
ou
"suivre le parcours de la Seine normande à pied"
étape 1 - Amfreville-sous-les-Monts - Pitres [Eure] par deux seinomarins et parfois plus.
www.pascallevaillant.com
Faire le parcours de la Seine est comme un parcours initiatique, une longue et périlleuse entreprise si on le fait à pied.
Je me suis posé la même question que Réda. A moins de la remonter ou de la descendre dans une embarcation, l’entreprendre par la route, à bicyclette, à pied n’est pas aisé.
Suivre ses berges, au plus près de son cours est un vrai défi qu’il convient de relever carte en main.
Sans la carte IGN au 1/25000, je ne m’y serai pas risqué.
D’autres « aventuriers » avant moi ont évoqué leur parcours de la Seine. Dans la littérature Ponge et Réda ont décrit leur périple, leur pérégrination onirique, bucolique et sentimentale.
Dans l’ouvrage intitulé La Seine, Francis Ponge propose au lecteur un voyage au fil du fleuve, de la source à l’Océan pour reprendre son terme.
source: La Seine, Francis Ponge, illustré par les images de Maurice Blanc, Editions La Guilde du livre Lausanne, 1950, p.72-73.
Autre époque, autre perception, celle de Jacques Réda en 1987 nous entraine de Paris vers les sources de la Seine.
source: Un voyage aux sources de la Seine, aux Editions Fata Morgana 1987.
Bien avant cela les premiers récits sur la Seine proviennent de la plume de Mme de Sévigné qui la compare à la Loire.
https://books.google.fr/books
Il y a onze lieues de Rouen à Pont-Audemer; nous y sommes venus coucher. ... j'ai vu toutes les beautés et les tours de cette belle Seine pendant quatre ou cinq lieues ...
Ainsi Mme de Sévigné a raconté son émerveillement à côtoyer les rives de la Seine jusqu'à Pont-Audemer, elle raconte à sa fille que ce sont les plus beaux panoramas du monde, le plus beau pays du monde en revanche elle ne fut jamais la seule à le dire parce que plus tard Hérédia, Maupassant, Flaubert, Mallot, George Sand, Stendhal, Victor Hugo ont magnifié les rives de la Seine depuis les hauteurs des coteaux ou des bords du fleuve notamment autour de Rouen.
Michelet en 1850 écrit que la Seine est ni capricieuse, ni molle comme la Loire, ni brusque comme la, Garonne, ni tempétueuse comme le Rhône.
Charles Nodier (1780-1844) fait encore référence à la Seine à Rouen (cf. Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France) et dans la Seine et ses bords (1836): Il fait figure de "pionnier" dans le récit, certains diront qu'il fut le père du "guide du routard"
in: http://book.victoralexandre.fr/tag/voyage-historique-et-pittoresque-sur-la-seine-du-havre-a-rouen/
Ce n’est que très récemment que je viens de me plonger dans ces deux récits que m’a recommandé un poète français et essayiste de renom, ami de Cartier-Bresson : Gérard Macé que j’ai rencontré à l’abbaye de Jumièges en juin 2015.
La lecture de ces deux ouvrages m’a incité à produire mon propre récit, ma propre vision, ma propre interprétation de ma descente à la mer en empruntant le chemin de halage et le lit du fleuve et sur ses plages se découvrant à marée basse.
Tout comme Ponge et Réda et Victor Hugo bien avant, j'ai rencontré les mêmes difficultés à suivre au plus près ses eaux montantes ou descendantes en revanche par mes chemins pédestres que j'ai choisi grâce aux cartes IGN, je suis resté quasiment au contact permanent avec le fleuve.
Enfin, ces dernières semaines (novembre 2015) je viens de découvrir l'ouvrage d'Andrea Keen, Fleuve, un long parcours le long de la vallée de la Seine de la confluence de l'Oise à l'estuaire. la place est faite aux innombrables vues de la Seine mais le texte est réduit à une simple présentation de son travail où la Seine est comme une expérience du paysage, 2007, JMP, FRAC Haute Normandie.
Il ne s'agit pas dans cet ouvrage d'évoquer la Seine normande. Faut-il faire remarquer que l'auteur se méprend sur la géographie car l'Oise, à l'Ouest de Paris ne coïncide pas du tout avec la limite de l'île de France bien au contraire car c'est la confluence avec l'Epte à Giverny qui fait la limite véritable de l'île de France avec la Normandie.
Fallait-il relever cette imprécision d'Andrea Keen pour délimiter convenablement mon champ d'exploration de la Seine normande et ce récit de ma randonnée pédestre en vallée de Seine normande d'Amfreville-sous-les Monts à la Baie de Seine (Eure, Seine maritime et Calvados.
Une expérience personnelle de longue date
Mon existence vagabonde m’a permis de fouler les sources de plusieurs rivières dont l’Isère, l’Arc, la Loire en 2000, la Seine en 2003.
En 2003 à l’été de la canicule en revenant de Chambéry, ma mère, mon fils S.L et moi-même décidons du retour vers la Normandie par la traversée du Rhône dans le Pays Gexois, par le col de la Faucille pour traverser le massif Jurassien avant d’entamer la route qui nous conduirait aux sources de la Seine à partir de Dijon. Ayant traversé les immenses massifs forestiers du plateau de Langres, nous fûmes surpris de découvrir le site des sources de la Seine.
Nous ne nous attendions pas à ce décor au final artificiel et allégorique. J’avais imaginé un endroit naturel, bucolique, enchanteresse et reposant, c’est à cet instant que je pris conscience de la symbolique et de la portée de ce fleuve français, non pas le plus long du territoire mais probablement représentant le mieux la France dans son aspect « mère nourricière ».
Cet été 2003, déjà vers la fin juillet nous frôlions la canicule avec des températures avoisinant les 38 degrés à tel point qu’à Chatillon-Sur-Seine au cœur de la ville, un des bras de Seine était à sec. Nous sommes ainsi descendus dans le lit de la Seine à sec dont le fond était tout craquelé.
A cette occasion ayant connu l’expérience de descendre la vallée de la Seine jusqu’à Paris ainsi que de Paris vers la mer à d’autres occasions, je persistais à penser qu’un jour je tenterai de suivre ce fleuve au plus près mais à pied. Une autre fois j'avais navigué en canoé, d'Hénouville à Duclair. Ce fut une belle expérience mais difficile à cause du retour réalisé à contre courant.
C’est ainsi que par des chemins détournés mon intention de réaliser ce parcours de la Seine à pied est née en 2009 au moment même où je composais mon plan scénomosaïque de la Seine normande d’après une carte IGN au 1/25000.
Finalement c’est à deux et parfois plus que nous avons décidé d’entreprendre cette aventure au fil de l’eau, au bord du fleuve, au plus près de la Seine tout en se tenant volontairement tenant à distance de certaines zones urbaines, portuaires et industrielles.
C’est auprès du fleuve que nous voulions découvrir sa nature, ses espaces, ses plages, ses paysages.
Il n’est pas rare de consulter de multiples "topo-guide", revues consacrés à la pratique de la randonnée en vallée de Seine mais aucun, à ma connaissance ne propose un parcours au plus près de la voie navigable.
Je vais ainsi raconter et décrire la Seine normande dans sa portion dite estuaire de Poses à Villerville, d’un côté et à Ste Adresse, de l’autre côté de son embouchure.
Si je prends un topo-guide des sentiers de Grande Randonnée (GR2), sentier de la Seine, des Andelys au Havre (Eure et Seine Maritime] édité par le Comité National des sentiers de Grande Randonnée basé à Paris dans sa troisième édition-janvier 1975 - le profil du GR2 s’approche effectivement autant de la Seine qu’il s’en éloigne comme la carte page 3 du document le montre.
Il faut considérer qu’un GR suit le plus souvent une vallée mais n’épouse pas strictement le parcours de la voie d’eau par ses berges.
Néanmoins décidés à descendre le cours de la Seine nous avons tenté de suivre la Seine au plus près de 2009 à 2015.
Notre commencement s’est intercalé avec la fin de notre périple à deux commencé en 2008 sur la côte d’Albâtre d’Ault au Cap de la Hève à Ste Adresse.
Selon les conditions météorologiques et en fonction du coefficient et des horaires des marées (en mer ou en Seine ) nous décidions ainsi le moment venu et voire au dernier moment notre destination soit une randonnée sur la côte d'Albâtre soit en val de Seine.
Notre format de randonnée se situe entre 3 à 4 heures de marche hors temps de pause ou de restauration.
Le pique-nique, l’opinel, les bouteilles d’eau voire même un petit-quart de vin rouge sont de rigueur et contribuent au succès de chaque sortie.
Notre souci ne fut pas d’enchaîner coûte que coûte chaque portion dans un sens linéaire vers la mer mais au contraire en fonction du temps disponible et imparti de nous rendre au meilleur endroit en fonction de la marée ou de la météo la plus favorable à notre entreprise.
Sans jamais quitter ou se passer de la carte IGN (sans faire de publicité c’est celle qui s’impose) nous identifions notre point de départ sur la carte au lieu-dit puis nous marchons au moins une heure et demi, jusqu’à un maximum de deux heures pour revenir au point de départ.
Quasiment à chaque fois au cœur de la nature sauvage de la Seine, nous avons rencontré et aperçu au détour d’un buisson, d’un champ cultivé, gibier, rapaces, échassiers.
Sur l’eau il nous a été donné de voir d’énormes poissons rouges et autres poissons de rivière tout comme des ragondins et autres rongeurs ayant élu domicile sur les berges du fleuve.
Au bord du chemin il nous plait constamment de découvrir une flore insoupçonnée, des espèces végétales inédites.
La Seine dans son environnement nous révèle ses ressources, ses paysages, ses ambiances, ses rives et berges secrètes que ponctuent des digues et cales anciennes, témoins d’anciens passages d’eau désormais inutilisés.
1ère étape : d’Amfreville-sous-les-Monts à Pitres. [Eure]
Amfreville-sur-les-Monts se situe à proximité de la Seine au confluent de l’Andelle.
C’est ainsi que la Seine rejoint près de Poses un de ses petits affluents venus du Vexin normand et prenant sa source dans le Pays de Bray tout comme l’Epte qui se jette dans la Seine à Giverny en amont.
Au pied du Vexin c’est là que se trouve le dernier barrage et la dernière écluse sur la Seine sous la côte des deux amants.
En amont de ce barrage la Seine est divisée en huit biefs que sectionnent neuf barrages et dix-sept écluses. C’est depuis cet endroit que se dessinent les grands méandres de la Basse-Seine.
La côte des deux amants offre une double perspective, l’une sur la vallée de l’Andelle et l’autre sur la vallée de la Seine dans un profil exemplaire découvrant une magnifique et remarquable pelouse calcicole sur ses deux versants perpendiculaires.
http://rencontresdarnieres.over-blog.com/pages/La_legende_des_deux_amants-2812455.html
En deux randonnées, la première par les coteaux nous avons parcouru les hauteurs de la vallée de la Seine jusqu’au Plessis pour revenir en contrebas vers le Val Pitan, Canteloup. La seconde nous sommes partis du pont délimitant l’impasse des Saules et celle des Peupliers enjambant la rivière « l’Andelle ». Nous avons suivi l’Andelle jusqu’à la confluence puis nous avons longé la Seine jusqu’à Port de Poses et les écluses.
Après les écluses empêchés de suivre le chemin de halage nous avons contourné l’obstacle par Canteloup, le Val Pitan avant de reprendre le chemin de halage jusqu’au Plessis-le Bas.
Au retour par le même chemin nous avons appris par les gendarmes qu’ils s’affairaient à enlever de l’eau un cadavre humain échoué et piégé entre deux péniches accostées en amont des écluses. Après ces détours indépendants de notre volonté nous coupons tout droit pour rejoindre le pont, point de départ de notre randonnée entre Pitres et Amfreville-sous-les-Monts.
Cette première étape fut l’occasion de me replonger dans des souvenirs anciens du début des années 70 alors qu’en famille nous nous entrainions pour de futures courses en montagne dans les Alpes en Savoie (Haute Maurienne et Haute Tarentaise)
Le profil du relief escarpé entre la côte des deux amants et Connelle est propice à l’entrainement pour la haute montagne tant la déclinaison est forte et les ascensions exigeantes, pentues et escarpées. Ces coteaux sont célèbres et connus pour la pratique de la varappe, plaisir auquel on s’adonnait avant de gravir les hauts sommets en Savoie.
Ces rochers d’escalade entretenus par le Club Alpin Français sont fréquentés toute l’année. Ceux à proximité de Duclair, dont le fameux « siège de Gargantua », étaient déjà à cette époque bien moins entretenus et surtout plus difficiles d’accès.
Les pelouses calcicoles surplombant la vallée et les pinacles à flanc de coteau accueillent une flore exceptionnelle insoupçonnable comme pour celles d’Orival ou d’Hénouville.
Entre les coteaux et les zones humides passent chaque année à une époque bien définie une multitude de batraciens au moment de leur migration.
Le barrage et les écluses sont à découvrir. Ce site est en permanence très fréquenté pour plusieurs raisons : la pêche, le site proprement dit ( les écluses et le barrage), les guinguettes, la proximité de la légendaire côte des deux amants dont l’histoire raisonne dans toutes les têtes et dans la mémoire collective.
C’est ainsi que s’achève cette première étape qui se poursuivra plus loin peu avant Les Damps pour rejoindre l’abbaye de Bomport et s’arrêter bien avant le pont autoroutier trop bruyant pour une randonnée en harmonie avec la nature et les éléments.
Pourquoi une interruption entre Pitres et les Damps me direz-vous ? Pour la simple et unique raison qu'entre l’Eure et la Seine peu d’accès sont praticables, un imposant terrain de golf bloque l’accès aux berges côté Poses, une imposante usine empêche l’accès sur les berges entre Eure et Seine et enfin de l’autre rive, côté Alizay, la vue sur l’usine ne vous incite pas à la ballade en bord de Seine.
Je vous donne rendez-vous pour la seconde étape de Pont de l'Arche vers Criquebeuf-sur Seine.
Bibliographie en cours...
-Haute Normandie, René Herval, B.Arthaud Editeur, Grenoble, 1940
-Côte fleurie et du Pays d’Auge, guide, Sntiers et parcours pédestres, Editions Charles Corlet S.A.R.L, Condé-sur-Noireau, 1983
-Les curiosités touristiques de la France, Seine-Inférieure, collection Kléber-Colombe, Paris, 1952
-Les curiosités touristiques de la France, Eure, collection Kléber-Colombe, Paris, 1952
-Honfleur, église Sainte-Catherine, brochure
-Un quai de l’abbaye de Jumièges, St-Vaast d’Heurteuville , J.P. Derouard, Cahiers de l'association des amis du Musée de la Marine de Seine, Caudebec-en-Caux, 1989
-L’abbaye de Boscherville, brochure, J. Daoust, Lyon, 1990
-L’abbaye QSaint-Wandrille et guide du visiteur, Dom Paul Quivy, Lecuyer, Lyon, 1973
-Honfleur, Françoise Schnerb, Ouest France, Rennes, 1978
-La Seine, mémoire d’un fleuve, PNR de Brotonne et Société d’Editions Régionales S.E.R. ,1994
-Les oiseaux du Marais Vernier, brochure, PNR de Brotonne
-Scènes le la Seine, association des conservateurs de Haute Normandie, Alain Joubert, Nathalie Rey, Rouen, 1986
-La Seine impressionniste, itinéraire artistique et touristique, Monique et Georges Lucenet, Projection, collection des itinéraires, 2010
-Vallée de la Seine entre naissance et renaissance, A.R.E.H.N, 2001
-En passant par l’estuaire, Réserve Naturelle Nationale de l’4Estuaire de la Seine, Maison de l’estuaire
-La vie et l’art en Normandie, de Tancarville à La Bouille, les érudits normands, Nouvelle de l’Eure, n°57, 1975
-*Normandie vallée de la Seine, Le guide vert, Michelin, 2011
-Jumièges, Henri Decaëns, Ouste France, 1984
-Le val de Seine connu & inconnu, J.Daoust, Rouen, 1966
-Promenades en Normandie avec un guide nommé Guy de Maupassant, Gérard Pouchain, Editions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1993
-Promenades en Normandie avec un guide nommé Hector Malot, Agnès Thomas-Maleville, Editions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1994
-Promenades en Normandie avec un guide nommé Victor Hugo, Gérard Pouchain, Editions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1983
-Traditions et modernité de la Seine-Maritime, Conseil Général de la Seine-Maritime, Rouen, 1987
-La France à table gastronomie et tourisme, Haute Normandie, n°28, janvier 1951
-Le petit coin de France la Seine-Maritime, André Vigarié, OCCE, 1962
-Seine-Maritime, la revue géographique et industrielle de France, n°25
-Richesses de France, La Seine Inférieure, revue économique et touristique, n°19, Delmas, Bordeaux, 1954
-La Haute Normandie, géographie d’une région, Région de Haute Normandie, Editions du P’tit Normand, 2è édition, 1988
-Caudebec en Caux, église Notre-Dame, brochure, Henri Decaëns
-Victor Hugo et la Normandie, Musée Victor Hugo de Villequier, catalogue d’exposition, Rouen, 1985
-Programme scientifique Seine-Aval, 3 – Sables, cheanux, vasières, dynamique des sédiments et évolution morphologique, Coord. Patrick Lesueur Ifremer, Région Haute Normandie, Agence de l’Eau Seine-Normandie, 1999
-Le paysage et ses fonctions, environnement Haute Normandie, Région Haute Normandie, A.R.E.H.N., 2000
-Connaître et gérer les zones humides, Conservatoire des sites naturels de Haute Normandie, Région Haute Normandie, Espaces naturels de France
-La Réserve naturelle de l’estuaire de la Seine, les dossiers de la Maison de l’estuaire, Maison de l’estuaire, 2008
-Nature, Ecosystème et biodiversité, Environnement Haute Normandie, Rgion Haute Normandie, A.R.E.H.N., 2002
-La Seine aval du Havre à Paris, Navicarte, guide de navigation fluviale, Port Autonome de ¨Paris Tourisme et Navigation, Editions Grafocarte, 1997
-Seine-Maritime, Val de Seine - littoral - Pays de Caux - Pays de Bray, Editions nouvelles – Paris, 1971
-Dynamique et gestion des pelouses calcaires de Haute Normandie, publications de UR, Université de Rouen, Thierry Dutoit, 1996
-Un voyage aux sources de la Seine, Jacques Réda, Editions Fta Morgana, 1987
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-Fleuve, un parcours le long de la vallée de la Seine, Andrea Keen, Frac Haute-Normandie, JeanMichelPlace, 2007
-Val de Seine, Jean-Sébastien Vanot, Frédéric Malandain, F.Malandain, 2004
-Seine Maritime, Les documents de France, Aspect géographique, historique, touristique, économique et administratif du département Alépée & Cie,
-Haute Normandie, Sentiers de découverte de la nature, Graine Haute Normandie
-Sainte Adresse…d’hier et d’aujourd’hui, Edition l’office culturel de Sainte-Adresse, 1981
-Promenades littéraires à Rouen, Lesprit des lieux, Editions Ouest-France, Rennes, 1991
-Le sentier des douaniers en Normandie, P. Bertin, B.Colliot, Editions Ouest-France, 2007
-L’abbaye de Jumièges, Normandie, Editions du patrimoine, Centre des monuments nationaux, 2001
-Harfleur, Seine-Maritime, 46 itinéraires du patrimoine, Edition Connaissance du Patrimoine de Haute Normandie, 1994
-Château Robert le Diable, Moulineaux, Roger Parment,
-Promenades en Bretagne et en Normandie avec un guide nommé Stendhal, Editions Charles Corlet, Condé-en-Noireau, 1989
-Atlas aérien Tome IV France, Paris et la vallée de la Seine, Deffontaines et Brunhes Delamarre, Ile de France, Beauce et Brie, Normandie, de la Picardie à la Flandre, Gallimard, 1962
-Le Port du Havre 1968-1998, 30 années d’histoire au fil des jours, Port Autonome du Havre, 1998
-Le Havre de 1517 à 1966, 2500 dates au fil des années, Michel Eloy, 1967
-Vieilles maisons françaises, Seine-Maritime, n° 147, VMF, 1993